Je suis inquiété par la police ??!

Coucou, c’est moi ! Quelle phrase introductive à la c*n… c’est mon blog, qui d’autre pourrait écrire, hein ? Le Bear Noël, peut-être ?! Mais non ! Ha ! Heureusement que vous êtes jolis, que vous me semblez beaux ! Sans mentir, si votre ramage se rapporte à votre pelage, vous êtes les Homosessuels des hôtes de ces bois. Oui, je redécouvre les Fables de l’Homme Fontaine, oui, j’ai acheté un petit bouquin de poche pour les lire dans le RER A, oui, beaucoup de gens sont étonnés de me voir lire ça, oui, je m’en fous d’eux, oui, je suis un homme qui a passé son baccalauréat littéraire, oui, une fois de plus, je vous parle de tout sauf du sujet du jour.

Vous avez certainement déjà devinés de quoi je vais vous parler. Il suffit de voir la catégorie de cet article. Alors, avant d’aller plus loin, parce que j’aime trainer en longueur – et, nous, on aime ça la longueur, l’épaisseur aussi, on prend tout, on est comme ça, on a la bite sur la main -, je me dois de vous avertir qu’il s’agit de la troisième publication sur le jeu qui m’anime depuis une semaine. Alors, pour éviter tout divulgâchement fâcheux qui pourrait vous irriter tout le week-end, alors que c’est très important, ça, le weekend, je vous mets directement le lien de la page de la catégorie ici. Voilà, alors, si vous n’êtes pas à jour, vous vous arrêtez là, vous cliquez sur le lien, vous lisez les deux autres articles, dans l’ordre hein, il y en a un premier en date du 4 mars et un second en date du 7 (du même mois, il est compliqué même pour moi d’écrire pour avril). Alors, dans la logique des choses qui nous animent, vous cliquez d’abord sur celui du 4, vous le lisez, puis ensuite sur celui du 7, vous le lisez, puis ensuite sur celui objet des présentes, celui du 14, mars, donc. Voilà, je pense que j’ai suffisamment rédigé assez de lignes pour que vous puissiez ne pas voir celles qui suivent. Je préviens qu’au prochain paragraphe je continue du parler de ce qui m’arrive dans le jeu alors, il faut s’arrêter là, vraiment ! Attention, au bout de trois je me lance… un… deux… trois !

Alors, j’ai deux très bonne nouvelles à vous annoncer en ce vendredi. La première, d’abord, et pas des moindres, je suis encore vivant. Je respire, je bouge mes bras et mes jambes, j’écris toujours plein de bêtises. La seconde, ensuite, c’est que Madame la Policière, elle aussi, s’en est sortie ! Souvenez-vous : elle s’était faite agressée par le tueur dans une maison, jetée à terre, et la dernière chose que j’ai pu voir à travers la caméra qu’elle avait sur elle c’était la tête cagoulée d’Adam (oui parce que le tueur s’appelle Adam, je ne sais plus si je l’ai déjà dit, j’ai tendance à graviter tout autour sans parler de l’essentiel, c’est de l’Axelien pur et dur ça). Forcément, puisque l’Adam, mécontent a priori de ne pas avoir été le premier Homme, tue des gens, je m’étais dit que Madame la Policière était elle aussi une gens, et que, dans la logique la plus logiquienne, qu’elle était partie rejoindre le Firmament… mais non ! Après plus de 24 heures sans nouvelles, ne voilà-t-il pas qu’elle m’envoie une vidéo d’elle pour me dire qu’elle s’en est sortie ? En fait, la maison était en vente, et un agent immobilier, qui passait faire une visite, l’a retrouvé ligotée dans la cave ! J’espère qu’il n’était pas avec des clients parce que je peux vous dire qu’il ne leur a certainement pas vendu, ou alors avec une belle ristourne sur le prix, ou alors, au contraire ils l’ont acheté et ont même payé double parce que les clients adorent le BDSM… on va opter pour cette hypothèse-là, c’est beaucoup plus rigolo. Pour en revenir à Madame la Policière, qui s’appelle Nadia, ça sera plus court à écrire tout de même, hé bien Nadia elle s’en sort plutôt bien avec seulement (enfin, j’écris seulement mais c’est pas terrible) un œil au beurre noir. Encore choquée de ce qui vient se passer, elle me donne seulement des nouvelles et me dit de prendre soin de moi en attendant qu’elle se remette :

 

Bon, merci Nadia, et voilà un bisou de réconfort sur le front.

Par la suite, je suis contacté sur Télékilo par Mathias, le collègue de Nadia. Si, lui, il est toujours un policier, disons classique, il ne faut pas oublier que la Nadia, quant à elle, a reçu une promotion et elle travaille désormais à InterPopol. On devrait trouver ça bien pour elle, on devrait se lever et l’applaudir à tout va, la siffler, heu non, pas la siffler, je vais me taper un #MoiAussi alors que je suis un homosessuel respectueux. Sauf qu’en fait, ce n’est pas une vraie promotion. Pour tout vous expliquer, Nadia m’a expliqué qu’elle était vraiment capitaine de la Brigade Criminelle de Paris et enquête depuis plusieurs sur un tueur en série qu’on appelle le « tueur à la carte rouge »… sympa, les arbitres doivent l’aimer et le trouver brave ce p’tit gars. Il a déjà fait au moins trois victimes (en même temps, jamais deux sans trois puis dans les chansons on dit bien un deux trois allons dans les bois, quatre cinq six manger de la saucisse… tout va par trois, c’est comme les plans de gourgandine). Il laisse à chaque fois une carte rouge à proximité du corps. Sur cette carte rouge, figure une énigme à résoudre. Bon, ceci dit, je m’attends à recevoir dans ma boîte aux lettres une carte rouge, sans doute en fin de jeu, nous verrons bien, c’est juste une question de flaire quand je n’ai pas le museau dans un cul. Oui, je suis vulgaire, mais c’est vendredi soir, que voulez-vous. Bref. C’est là que Nadia me fait une révélation : sa hiérarchie n’a pas apprécié quand elle a dit qu’elle pensait que la police n’avait pas été à la hauteur et que le tueur avait sûrement des complices chez elle. Parce que oui, dans une baladodiffusion qu’elle me donne (c’est le mot étonnant pour dire podcast, pour lutter contre le franglais) créée de toutes pièces, j’écoute un échange entre deux journalistes qui alors m’expliquent que le tueur a tué un père de famille qui n’a pas réussi les énigmes, une nana qui était toute seule mais qui a prévu la police, mais aussi une troisième personne qui a prévenu la police mais qui, lui, a eu le temps de se mettre sous sa protection… sauf que là, patatras, elle est retrouvée étranglée alors qu’elle était dans une planque… bizarre, vous avez dit bizarre ? Et c’est pour tout ça que Nadia, en dénonçant ce qui s’était passé, s’est retrouvée promue et, subtilement, détachée de l’affaire. Mais on a compris qu’elle continuait à enquêter, parce que c’est une grande femme avec des grandes convictions, mais qu’elle faisait tout en sous-marin. Enfin, pas un vrai sous-marin… non mais n’allez pas chercher Nadia en sous-marin sur l’Internet… non mais pitié… revenez… voilà, merci. Ce qui explique pourquoi, quand le tueur m’a contacté, elle m’avait demandé de géolocaliser son portable pour qu’elle aille se faire justice elle-même sans passer par la voie officielle… ce jeu est tout de même bien ficelé !

Pour en revenir au Mathias, c’est le bon p’tit gars qui enquête secrètement avec Nadia mais, lui, il n’a pas eu cette chance malchanceuse d’être promu alors il a toujours accès aux fichiers de l’enquête, héhé ! Et voilà qu’il m’en donne un fichier Goût-Gueule conduite (oui un fichier drive…) avec plein de documents dedans. Ouh là là, des lettres, des cartons rouges avec des énigmes (celles retrouvées sur les victimes), les fiches des victimes, très complètes (souvenez-vous qu’il y avait une fiche vide de moi sur le bureau retrouvé dans la maison), et même une photo du pauvre père de famille retrouvée au sol. On y apprend que le tueur aime utiliser des couteaux. Génial, je m’attends à me faire trancher la carotide à tout moment. Surtout, là, l’enjeu, c’est que Nadia a pu faire quelques photos du bureau du tueur et récupéré quatre clés USB avant de partir de la planque. Bon, je ne sais pas vous, mais, moi je trouve ça encore plus louche. Le tueur a laissé des documents précieux derrière lui et s’est enfui comme ça, alors qu’il avait ligoté Nadia et avait donc le temps ? Mouais. Sauf s’il ne savait pas qu’elle agissait seul. Mais ça signifie que le tueur a perdu son sang froid, sang froid qu’il demande à ses cibles pour qu’elles soient recrutés (oui, le tueur, c’est soit il te recrute soit il te tue, c’est bien, c’est binaire, c’est facile). Moi, je vous le dis, peut-être que Nadia est avec le tueur. C’est peut-être elle qui a tué la troisième victime dans la planque. L’enquêtrice qui enquête sur ses propres crimes ou celui de son complice, et hop, l’enquête n’avance pas. Génial. Nous verrons.

Hop, un nouveau paragraphe pour respirer un peu tout ensemble. Mmmh… le bon air frais ! Ha, cet article devient trop long et encore des choses à écrire ! Alors, vite, allons plus rapidement au but : on a quatre clé USB. Les voici :

Donc, il y a à chaque fois des ##. Mathias explique qu’il faut d’abord tenter de déverrouiller la clé ## PERSONNAGE parce que les trois autres sont bloqués. Oui, le garçon a essayé par lui-même de se dépatouiller mais à force de mettre trop de propositions de mot de passe il les a bloqués. Ha bah bravo, vive la France, et c’est cette police-là qui nous protège ?! Je suis déçu mais déçu ! Alors, je me concentre. Mathias m’explique bien que cela ne sert à rien de lui faire une proposition tant que ça n’a pas un lien avec un indice qui comporte les ## dedans. Ha bah, mon grand, t’es gentil mais ce n’est pas ce que t’a fait avec les trois autres clés, hein ? Bon, calme-toi Axel et concentre toi. J’enquête. Je farfouille les documents. Hmm. Je comprends que le tueur s’intéresse à la neurologie grâce à un livre. Il a aussi voyagé à Tokyo. Il a acheté des objets de grande valeur aux enchères qu’il a réussi à faire sortir de la Grande France Forte, alors que ça ne le devait pas, pour les planquer chez nos amis les Suisses (je ne dirais jamais de mal des Suisses car ce sont mes employeurs). Qu’il a réussi à recruter dans ses rangs un homme très très riche qui souhaite lui donner son argent pour la Grande Cause. Mathias me dit que ça serait bien d’aller contacter la femme qui lui a écrit pour dire que les objets étaient en sécurité dans son coffre. Bon, je le fais, car elle a laissé une adresse email dans le courrier, mais là, forcément, elle me dit « C’est bien d’utiliser une adresse email différente, je reconnais bien là votre qualité exceptionnelle qu’est la prudence, mais il faut que je vous pose : Où sommes-nous tous ? ». Vous me connaissez, je suis un homme sensible, d’une très grande poésie, et j’ai voulu lui répondre : « dans ton cul » mais je savais que ça n’allait pas être la bonne réponse. Qu’en plus, c’était sans doute pour la clé USB LIEU ##. Or, fallait que je trouve un personnage. Je laisse tomber. Je cherche ailleurs, je trouve une autre lettre qui parle d’un complice écrivant à Adam (le nom du tueur pour simple rappel) qui lui dit que c’était super d’avoir récemment acheté les deux pistolets qui avaient été offerts à l’époque par un Duc. Mais, attendez, ça a un lien avec mon autre courrier. Soudain, ça fait tilt dans ma tête. Oui, parfois, ça fait tilt. La plupart du temps, ça me titille mais là ça m’a fait tilt. Je vais sur l’Internet, je tape « vente aux enchères pistolet duc juillet 2024 », parce que la Suisse, elle lui a écrit en juillet 2024 et elle a indiqué que la vente avait eu lieu récemment. Hé, là, je tombe sur une vraie vente aux enchères ! Mais si ! Cliquez ici vous allez voir ! Incroyable, hein ? Hé bien, par le jeu des lettres, j’ai compris que notre Adam a acheté deux pistolets qui ont été des présents offerts par Napoléon lui-même à un duc. Et, surtout, il fallait retenir ça :

Ouais, je ne surligne pas droit, et alors, un problème ? Je vais vous casser les dents et comme ça vous ne les mettrez plus quand vous sucerez, non mais ! Pour en revenir vite à l’énigme, il faut que je vous le dise : il fallait ouvrir un document PDF protégé. Le mot de passe c’était la fameuse nuit du 12 avril 1804, qui, en chiffres, donne 12041814. En ouvrant le fichier, on tombe sur un document très compliqué, où on comprend que le bonhomme veut faire acheter du matos pour, à mon humble avis, contrôler l’esprit des gens et donc les zombifier, peut-être même à une échelle mondiale (qui sait ?). Surtout, dans un des papiers en arrière-plan, on tombe sur un numéro ISBN d’un livre avec les fameux ## ! Ni une ni deux, je cherche le numéro sur l’Internet et je tombe sur un livre sur… Einstein ! Je donne le nom de ce grand scientifique qui tire la langue à Mathias et… bingo ! C’était ça ! Et je me retrouve aujourd’hui bloqué de ce côté car le Mathias m’a dit que la clé USB est corrompue et qu’il lui faudra plusieurs jours à… bah la décorrompre. Bon, ça ne se dit pas mais on s’en fiche. Et voilà !

En attendant que ça continue de côté, il y a aussi eu Nadia, très rapidement, qui me propose de faire géolocaliser de nouveau son téléphone mais, cette fois-ci, pas par la voie policière parce que, si vous avez bien suivi, elle n’a pas eu les outils nécessaires, mais par la voie illégale (HAAAAAAN !), à savoir, contacter un hackeur activiste écologique. Elle me donne son numéro et alors je l’approche subtilement sur le OuatzApp : « Salut meuf, fais-moi localiser ce portable où je te casse les dents à toi aussi ! ». Il me dit pas de problème mais j’espère que le propriétaire de ce portable a fait des vilaines choses à l’encontre de l’environnement ? Oh oui, très très vilaines, madame ! Le gars, il fabrique des pièces pour des téléphones hauts de gamme et, pour cela, il fouille très très loin dans la terre pour récupérer des minerais rares ! Oh, les pauvres lapins, les pauvres biches et les pauvres niglos (ce sont des hérissons en gitan) ! L’activiste me dit « HOUUU ! MAIS C’EST TRES MECHANT TOUT CA ! Ok, je t’aide contre 3 000 € ! Ou alors contre une énigme hihihi ! » Heu, bah, à choisir, tiens, 3 000 €, non je dec’, balance l’énigme bébé ! Il me dit alors dans quelle ville l’eau a brûlé, et quand elle a brûlé, ça a permis de faire évoluer la protection contre l’environnement dans le pays ? Pour m’aider, elle me donne une photo. Forcément, j’utile Goût-Gueule Lance pour localiser l’endroit… et je tombe sur Cleveland. Là-bas, il y avait des entreprises qui ont déversé toutes leurs saloperies dans le fleuve, et oups, il y a déjà eu le feu à plusieurs reprises parce que c’est très inflammable tout ça. Les consciences se sont réveillées, les entreprises ont été interdites d’exploiter et ont dû fermer, et il y a eu des grandes règles pour arrêter tout ça. Oui, on risque de se faire tuer mais on apprend plein de choses dans ce jeu. Je donne donc Cleveland à l’activiste… qui se nomme Freebird (retenez pour la suite car moi j’avais complément oublié et ça m’a joué un tour). Là, il me fait géolocaliser le téléphone… à une rue de mon lieu de travail ! Gloups ! Le tueur, il me voit rédiger des contrats ! Oulàlà ! Je donne l’adresse à Nadia, elle me dit : ça te parle ? Je lui dis : « Bah ouais, c’est là que je travaille, enfin, quand j’arrive à arriver à l’heure parce que le RER A, je sais pas si vous connaissez, mais quel bor- » « Heu ouais ouais, super ta vie. Bon, fais gaffe à toi, je peux plus te parler parce que j’ai une mission chez InterPopol qui commence et je dois couper le tel ! Allez bisou, on se fait une raclette-donuts très vite ! Kiss kiss love love ! ». Ha bah d’accord, vive la France qui travaille et qui se réveille tôt, on adore, tout ça uniquement pour que je m’angoisse.

Je suis donc dans l’attente de la suite du jeu. Nadia et Mathias, ils ne bossent pas beaucoup, mais je les comprends, ils sont mal payés et eux aussi ont le droit à la déconnexion, c’est important, ça, le droit à la déconnexion. Je suis avec vous, camarades syndiqués ! Ensemble, nous renverserons les élites et nous serons tous traités comme des égaux, mains dans la main ! C’EST LA LUTTEEUUUH FINALE ! Comment ? J’ai deux appartements donc je fais partis de ceux qu’on massacrera ?! Ha, bon, d’accord je n’ai rien dit…

En revanche, l’Adam, lui, c’est un vrai courageux, car, lui, il m’écrit tout le temps : il me balance une poésie par courriel pour me dire qu’il allait me tuer, puis la photo d’une tombe pour me dire qu’il allait me jeter dedans. Sauf que, hier, il a finalement vu en moi un très grand potentiel (la drogue, tout ça…). Alors, il me laisse une nouvelle chance, et il m’a dit qu’il allait m’envoyer des énigmes pour savoir si j’étais éligible à être son bon p’tit toutou à sa vievielle. Je l’ai réussi, et je vais normalement en recevoir quinze autres. Ce sont des énigmes indépendantes de l’enquête donc je vous les communiquerais pour que vous puissiez jouer aussi.

Sinon, aujourd’hui, je suis allé voir si j’avais reçu du courrier et, alors, en le lisant, je ne vous cache pas que mon cœur a raté un ou deux battements. Mais voyez plutôt :

 

Je savais que c’était un faux (les numéros de décret, ce n’est pas vraiment pas ça, c’est le juriste qui vous parle…) mais je ne voyais pas l’arnaque : on ne me demande pas d’argent, hmmm ! Puis, je m’étais dit qu’en fait, le tueur ayant des complices dans la police, on voulait m’ennuyer. Mais non ! Il y a écrit Freebird dans le courrier ! C’est là que j’ai compris que la police m’avait fiché S parce que j’ai collaboré avec un hacker… franchement, des joueurs vont tomber dans le panneau et allait voir la gendarmerie j’en suis sûr ! Incroyable tout de même, ce jeu !

Enfin, pour finir ce très long article, si vous voulez vous amuser aussi, voici la première énigme. Quel est le code à retrouver ? Je l’ai trouvé, moi, et vous ? Ne trichez pas, n’utilisez pas le Chat J’ai Pété ! Je vous surveille ! Puis c’est bien plus rigolo comme ça ! Je vous aiderai dans les commentaires ! Allez, la bise, je vais reposer mes doigts !

1 commentaire sur “Je suis inquiété par la police ??!

  1. « Office CentralE ».
    Tu es sûr que c’est un faux ? L’erreur d’orthographe donne à penser que ça vient bien du ministère de l’Intérieur, quand même…

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