Mais est-ce que je veux vraiment la sauver, déjà ?!

Haaa ! Comme cela fait plaisir de vous retrouver ! Comme le dou son du tapotement frénétique de mes doigts contre les touches glacées de mon clavier personnel m’avait manqué ! Je voulais vous écrire plus tôt, mais, je dois bien vous l’avouer, la semaine a été intense… il faut bien remplir le frigo, comme on dit. Alors, non, pardon, on arrête tout les gars ! Déjà, je ne sais pas qui dit ça ? Je connais vraiment personne qui dit ça. Ensuite, le frigo, il est vraiment vide aujourd’hui. J’ai tellement pas envie de m’acheter à manger que je suis même prêt à jeûner aujourd’hui. Parfait : je trouve que je vieillis trop vite. Alors, puisque rien ne va dans cette introduction, on la laisse tomber et on passe directement à ce qui vous intéresse, et il y a vraiment ça qui vous intéresse : Le Jeu Où On Veut Me Tuer Et Je Dois Savoir Qui Est le Crimier.

Si vous n’êtes pas à jour ou alors, PIRE, vous ne savez vraiment pas de quoi je parle (mais alors là, je suis tristesse dans mon cœur à tout jamais, requiem pour tout recommencer), je vous invite courtoisement à cliquer sur ce lien faisant apparaître tous les articles sur le jeu. Nous en sommes déjà au quatrième ! Au qua-tri-ème ! Ha ! Comme le temps passe vite ! Demain, sans crier bukkake, je serai déjà enterré, quelque part ! Je n’espère pas au cimetière, c’est triste les cimetières, puis il y a des croix de Jésus et j’ai suffisamment d’imagination pour inventer mes propres histoires fantaisistes. Non, j’espère que l’on aura la bonne idée de m’enterrer au pied d’un bel arbre, ou dans le jardin de ma belle  maison de campagne (j’ai décidé d’avoir une belle maison de campagne pour finir mes vieux jour, je ne suis pas du tout original je le sais, j’assume). Bon, vous l’aurez compris, j’ai encore écrit des choses qui n’ont rien à voir avec le jeu mais ici c’est pour la bonne cause. En effet, c’était pour que les lecteurs non assidus dans leur lecture puisse avoir le temps de sortir de cet article sans être divulgâché par la suite du jeu que je vais vous raconteeeeer… maintenant ! Hop !

Souvenez-vous. Je m’étais pris un courrier de l’ « Office Centrale de Sécurité Intérieure » m’informant que j’étais désormais fiché S (j’espère que c’est le fichier des S comme Sal*pes) et que je devais me présenter au commissariat le plus proche parce que j’avais fait géolocalisé mon téléphone par un hacker (là, soudainement, j’ai envie de chanter : Avec mon coeeeeur de hackeuuuur j’ai jamais du être fichéééé S). Hé bien, il y a du nouveau depuis, de l’eau, même du sang, ont coulé sous les ponts. Je vous emmène dans l’horreur… *musique terrifiante*

Le lendemain de la publication de mon dernier article sur le jeu, soit le 15 mars, je reçois un courriel de mon pote Mathias. Mais si, Mathias ! Le collègue policier de Nadia qui est l’enquêtrice ! Rah mais vous ne suivez rien ! Et le tueur, vous vous en souvenez au moi de son nom ? Non ? Misère, qu’ai-je donc fait au Créateur pour avoir un public pareil ! Bah c’est Adam ! Bon. Maintenant que vous avez de nouveau tous les personnages, j’ai mon pote Mathias qui, entre deux pintes (parce qu’on est devenu très copains, on va boire des coups et tout maintenant), me dit, « Hé ! En fait ! Voilà un dossier sur la première victime ! » Et la, paf ! Une photo du bon père de famille au sol, la tête dans une mare de sang. Mais mmmh… merci Mathias ! Ca m’a redonné soif tout ça ! Allons reprendre une blonde ! … NON MAIS CA NE VA PAS MATHIAS ???! RIGHT IN FRONT ON MY BEER (on aurait aimé écrire « BEAR », je sais) ??!

Bon, une fois le dégoût passer, on trouve dans ce fameux dossier de Charles – la victime s’appelle Charles, allez, je sais que ça rajoute un prénom mais vous pouvez le faire, je crois en vous… – une note de synthèse, le rapport d’autopsie, trois procès-verbaux de police qui sont trois témoignages : celui de sa femme, celui de son patron et… eeeet… celui de sa maîtresse ! Hé oui ! Hé ouiii ! Les hommes sont tous des grosses merdes. Alors, en épluchant tout ça, on apprend que Charles est un bon p’tit gars, il s’occupe bien de ses enfants, il les emmène à l’école le matin, sauf que, avec sa femme, ça n’allait pas trop alors il s’est rapproché, un peu trop rapproché, d’une collègue et là, patatra ! Une fois par semaine, il fait croire à sa femme qu’il part faire du squash mais… que nenni ! Je dirais même plus : queue nenni ! Môsieur allait manger à l’Hippoproutamus avec sa p’tite demoiselle avant d’aller faire des choses pas très catholique à l’hôtel Ibaise. Bravo ! Vive la France qui se lève tôt et qui travaille ! D’ailleurs, notre protagoniste travaillait dans une boîte discrète en lien serré avec… le ministère de la Défonce Défense ! Là, désolé, je suis obligé d’utiliser ma boîte à dis donc ! *retourne la boîte à dis donc* DIS DONC ! Et il travaillait sur un poste secret défense, DIS DONC ! Et son empoyeur informe la police qu’il travaillait sur les nouvelles technologies, et plus particulièrement, sur un nouveau char européen, DIS DONC ! Et de manière encore plus précise, sur les systèmes d’acquisition automatique des cibles de type drône, DIS DONC ! Oui, pour la dernière phrase, j’ai été retrouvé le PV et j’ai été tapé mot pour mot ce qu’avait rapporté son employeur parce que si j’avais réussi à ressortir mot pour mot ce qu’il avait dit, cela signifiait que je pouvais demain être le Président du Monde. Aussi, et c’est là que c’est intéressant, que c’est qu’il était très bon dans son domaine et il adorait faire fonctionner à fond son cerveau avec des jeux de réflexion… DIS DONC ! cette piste est intéressante, j’y reviendrais plus tard. *repose sa boîte à dis donc*

Ensuite, j’ai été lire le rapport d’autopsie. Ha, super, attend, je vais poser ma bière parce que là. Oui, Mathias, merci, vraiment. Alors, vous l’aurez compris, ce pauvre Charles n’est pas décédé tout seul. La faucheuse (ou Adam, plutôt) est intervenue entre 9h et 10h suite à une hémorragie causée par une plaie par arme blanche au niveau des cervicales… mmmh… on adore ! Je reprends ma bière, allez ! Le pauvre gars, il dépose ses deux enfants à l’école, revient chez lui, se met en télétravail, et là… paf… plus de vie dans le corps de papa. Ha, comme c’est moche ! On apprend entre autres que la maison était fermée à clé. Bon, bizarre. Aussi, on a retrouvé une carte rouge sur le corps, DIS DONC ! *repose définitivement sa boîte à dis donc qu’il avait repris en douce*

Alors, je regarde les pièces, je fouille, j’analyse… je reprends les anciennes pièces, je les lis, et les lie et… aucune piste. Je suis déçu. Au bout de deux jours de recherche, je demande à Mathias sur le OuatzApp ce qu’il faut faire. Et ne voilà-t-il pas qu’il me dit rien « Bah rien, moi non plus j’ai rien trouvé. Je t’envoie un second dossier dans peu de temps. » Ha bah d’accord, je me faisais chier pour rien pas merci Mathias ! PAS MERCI ! Bon, alors, j’attends.

Le lendemain, je reçois le dossier de la deuxième victime (si vous vous en souvenez, il y en a trois…). La deuxième est une jeune femme au doux prénom d’Elisabeth. Là aussi, j’ai reposé ma bière. On voit une belle photo de cette Elisabeth toute morte, la tête sur son bureau en train de taper des mots sur son ordinateur… *se retourne soudainement pour être sûr que personne est derrière lui*. Rah, franchement, je sens que je vais bientôt y passer, moi aussi. Alors, Elisabeth est une jeune illustratrice, née en 2001 (plus jeune que moi…), qui a été découverte avec de multiples blessures par arme blanche, notamment une atteinte fatale à la carotide (on commence à comprendre comment Adam y procède…). Une carte rouge, forcément, présentant une énigme a été retrouvée à proximité d’elle. Elisabeth était une des meilleurs joueuses de puzzle de France. Tiens, ça donne un point en commun avec Charles qui adorait les casse-têtes. Enfin, pour les deux, on pourrait dire des déchire-cous HAHAHAHAHA ! HAHAHA ! HAHA ! Ha ha ! Ha… Hum. Alors, on aprend qu’Elisabeth enchaîner les relations, les hommes ne la traitaient pas bien, bon, elle n’aura jamais eu le temps de trouver Le prince charmant. Ici, ce qui est intéressant, c’est que le tueur a été surpris par le concierge de l’immeuble dont sa loge était juste en dessous et, à peine le temps de rentrer, le tueur s’est échappé par la fenêtre. Sauf que là, là ! ERREUR ! En enjambant la clôture de l’immeuble, il déchire son sac à dos et fait tomber une partie de son contenu… qu’on a récupéré ! Alors Daurade ?! Il y a quoi dans le sac à dos ! Allez chantons avec Daurade ! Sac à dos ! Sac à dos ! Et hoooo ! Hoooo !!! On y découvre une lettre d’une fan de tueur qui le remercie vivement de l’avoir accueilli au sein de son association-secte de psychopathe, une carte de fidélité dans un restaurant libanais, mais surtout, surtout, surtout (j’ai déjà dit surtout ?) trois photos de bandelettes de mails imprimés. Bon, on retrouve aussi dans le dossier un rapport d’autopsie, deux nouveaux témoignages (celui du petit copain moisi qui n’était pas sympa avec elle mais qui apparemment n’a rien fait, et celui du gardien de l’immeuble qui a tout vu mais qui n’a pas pu courir après le tueur parce qu’il est vieux et fatigué – on est dans le même camp, mon gars !-) et un dépôt de plainte d’Elisabeth elle-même, quand elle était encore toute pleine de vie, contre X parce qu’elle était toute effrayée de recevoir tout plein de messages d’un gars louche qu’elle connait pas qui la menaçait de mort si elle ne réussissait pas ses énigmes… bizarre, ça me rappelle quelqu’un qui est actuellement dans cette situation, je n’arrive plus à me souvenir qui c’était…

Et là, c’est la bonne : il y a une piste à mener ! Ha enfin ! Mathias me dit de chercher cette fois-ci le nom de l’association d’Adam ! Alors, je vous évite toutes les tentatives que j’ai menées en vain, je vous explique ce qu’il fallait faire :

Tout d’abord, il fallait aller sur le site du restaurant libanais. Il était super bien fait, on aurait pu y aller dîner tellement que ça donnait envie ! On avait des jolies photos de plats, le menu complet. Ce qui prouvait que c’était faux c’était le prix à Courbevoie. Désolé mais 15 euros le plat dans le 92, on y croit pas ! J’avais envoyé un courriel à l’adresse électronique marquée sur le site pour savoir s’il connaissait un certain Adam qui aurait mangé chez eux, mais je n’avais reçu qu’un accusé de réception en me disant qu’ils allaient revenir vers moi (et ils sont jamais revenus vers moi, les pweutes !). Je comprends plus tard, en fouillant, qu’il y a un blog dans ce site. Sur le blog, des articles sur des évènements qui ne m’intéressent pas comme des cours de danse libanaise (logique). Mais là, ho ! Un article sur le fait qu’une soirée est organisée pour jouer à des jeux de casse-têtes et de réflexions, DIS DONC ! Et tout ça est menée par une association dont le siège social se trouve en face du restaurant, DIS DONC ! Oui bah je l’aime ma boîte à dis donc ! Oui, d’acc’, je la repose roooh ! *repose définitivement de définitivement sa boîte à dis donc* Et là, sur l’image d’illustration, des joueurs qui jouent en toute innocence, le sourire aux lèvres, le temps est bon, le ciel est bleu, ils ont deux amis qui sont aussi leurs amoureux, mais, le plus important, c’est l’image d’une cervelle rouge posée sur une des tables. J’ai déjà vu le logo d’un cerveau sur un des courriers du tueur au tout début du jeu. Au passage, c’était très drôle, car j’ai découvert de commentaires de personnes précisant qu’elles souhaiteraient beaucoup jouer avec cette association et souhaitaient connaître son nom… c’étaient d’autres joueurs 🙂 ! Et, encore au passage, il y a eu un vrai commentaire d’une personne qui voulait venir manger au restaurant mais qui ne comprenait pas que l’adresse soit fausse 🙂 !

Oh là là là ! J’écris, j’écris, et j’ai encore tellement de choses à écrire qu’il faut que j’aille plus vite ! Alors, après, il fallait s’attarder sur les mails. Il fallait donc… ha je soupire… imprimer les trois photos, découper toutes les bandelettes, parce qu’on comprend que les documents sont passés à la broyeuse, et s’amuser à les reconstituer… comme un puzzle, dis donc ! *repose définitivement de définitivement de définitivement* Pour bien comprendre, voici les trois documents :

Puis là, j’ai pleuré, beaucoup. Moi qui suis très mauvais en arts plastiques, je me suis « amusé » pendant plus d’une heure trente à tout découper et à essayer de remettre les bandelettes les unes avec les autres (preuve à l’appui sur l’illustration de l’article) avant de comprendre qu’en fait une photo n’était pas un mail. Tout était mélangé ! Et qu’il y avait même des bandelettes qui étaient complètement étrangères à tout ça ! J’ai voulu ce soir-là, alors que je m’étais déjà tapé une bonne journée de boulot, qu’Adam s’occupe de ma carotide sur le champ et qu’on en finisse une bonne fois pour toute. Mais, là, éclair de génie ! Il faut savoir que je suis un véritable Partisan Du Moindre Effort ! Je suis très connu dans ce domaine ! J’excelle ! J’Axelle même (hahaha) ! Quand je peux faire faire par les autres, alors là, je trouve tous les stratagèmes possibles et inimaginables. Donc, j’ai eu une super bonne idée, j’ai demandé à Mathias (qui, pour rappel, est une intelligence artificielle), s’il pouvait découper les mails et les recoller ensemble… et il me dit d’accord ! Woahouuu ! J’étais content ! Mais tellement content ! Je ne pensais pas que ça allait marcher. Lorsque  j’ai vu plus tard le résultat, je me suis dit que ça devait être impossible de le faire par soi-même et qu’il fallait forcément utiliser ses alliés pour le faire…

Là, en lisant les trois bouts de mails reconstitués, on lit des réponses à une annonce où Adam cherche à acheter 50 talkie-walkie d’un certain modèle… bon. Je contacte le seul gars dont l’adresse email est identifiable. Il m’écrit en me disant qu’il est dégouté car là Adam ne lui a jamais répondu. Ha, en plus d’être un tueur, il est un cocontractant non fiable. Mon cœur de juriste n’a fait qu’un tour : je vais tuer le tueur ! Il me dit que l’annonce était sur un site très connu. Alors, j’ai été sur le site de LeMauvaisCoin puis j’ai écrit dans la barre de recherche : 50 talkie-walkie de tel type. Et je suis tombé sur l’annonce d’Adam avec une photo d’un talkie-walkie mais surtout une petite note manucrite avec un numéro de téléphone. J’appelle… j’entends un homme qui lance un « AssoBiduleChouette.fr, bonjour ! Bonjour ! BONJOUR !!! » et là, comme pour les enquêtes préliminaires, affolé, je raccroche. Puis je réalise que c’était forcément automatisé. Alors je rappelle, j’entends exactement la même phrase avec la suite « Elodie ! Le téléphone déconne de nouveau ! Je n’entends personne au bout ! » et ça raccroche. Ha, mais attendez… Elodie… qui c’est celle-là ? Je sens que ça va me servir plus tard ! Là, je me dis, bon bah j’ai trouvé l’association !

Je vais sur « AssoBiduleChouette.fr » (mais qui se présente en donnant une adresse de site de l’internet par téléphone ?) et là je tombe en fait sur une association qui gère des associations. Mais vraiment, beaucoup d’associations. Il y en a des centaines. Il fallait forcément que je trouve la bonne association. parmi toutes celles présentées… et là, je vois qu’on peut chercher par ville… vous vous souvenez du restaurant libanais ? Hé bien j’écris « Courbevoie »… et je tombe sur une liste de 5 associations. Bon, les p’tites mamies qui adorent jouer à la belote, on s’en fout (non on s’en fout pas, on les adore les p’tites mamies qui adorent jouer à la belote mais on s’en fout pour le jeu, on s’est compris), l’association des thérapeutes chauves, on s’en fout… et là… làààà messieurs-dames ! je tombe sur l’association « Brainsa« . Et « brain« , ça veut dire cerveau en français. Oui, je dis peut-être une évidence, mais il y a des gens qui ne savent peut-être pas parler anglais alors voilà hein ! Et, c’était la bonne association à donner à mon pote Mathias ! Le jeu va continuer un peu plus tard de son côté..

Wow, mais ça me prend un temps de dingue, DE DINGUE, d’écrire tout ça ! Et je ne vous ai pas encore parlé de ce qui m’arrive du côté d’Adam. Ne voilà-t-il pas qu’il me propose une nouvelle énigme pour cette semaine, ce qui est plutôt sympa car je trouve qu’il y a un petit côté Père Fourreur de Fort Boyeau (j’écrirais un article sur ce jeu cet été, quand ça sera diffué sur la Grande France Deux). Sauf que là, il m’apprend qu’il n’y a pas de clé à gagner, mais une vie à sauver. Ha. Et là, dans une vidéo, à visage découvert en plus (il prend trop la confiance, celui-là !), avec une voix à faire frémir n’importe qui, il me montre une femme ligotée et bâillonnée dans une baignoire, avec une lumière tamisée rouge (j’allais écrire rouge drichette mais seuls quelques comprendront la référence !). Ha ça, rien n’a dire, Adam, il sait mettre une petite ambiance bien confortable ! Il me dit que si je n’arrive pas à résoudre son énigme en trois parties cette semaine, la p’tite dame là, bah elle n’aura plus de vie du tout comme les précédentes victimes, et que la p’tite dame compte sur ma sagacité pour s’en sortir. Et là, j’entends la p’tite dame hurler comme elle peut (elle est bâillonnée, rappelons-le, vous ne suivez rien je n’en peux plus). Puis, après la vidéo, il me donne un p’tit lien bien sympa car ça me donne accès à une webcam en direct seconde par seconde avec vue sur la p’tite dame dans la baignoire, avec tout plein de seringues et de flacons à côté d’elle. Ha oui, parce que j’ai oublié de vous le dire : il la drogue de temps en temps pour qu’elle soit bien calme. Puis toute façon il lui a dit qu’elle pouvait hurler autant qu’elle voulait, personne ne l’entendrait ici. Ha bah oui, je suis entièrement d’accord : on respecte la tranquillité de ses voisins. Je gère au quotidien par ma profession des troubles de voisinage et j’en ai marre des incivilités. Franchement, est-ce que j’ai envie de la sauver, d’abord ? Si elle est bruyante comme ça, il vaut mieux qu’elle parte définitivement, non ? Et j’ai quand même envie de savoir si le jeu t’offre des options : est-ce que son sort va être différent, que j’arrive à résoudre ou non son énigme ? Est-ce qu’il y a une variante possible ?! J’ai envie de savoir ! Genre, hop, je m’associe avec le tueur et je me ligue contre les autorités et on domine le monde en mode Minus et Cortex !

L’article est déjà bien long, je vais m’arrêter là et reviendrais vers vous la semaine prochaine en reprenant avec l’énigme d’Adam. Toutes façons, je n’en ai que deux parties sur les trois, et j’attends de recevoir la fin pour proposer une réponse et voir si j’arrive à sauver Joséphine. Vu que je ne connais pas son nom, j’en invente un. Oui, je sais que vous n’aimez pas les noms car vous en mémorisez aucun mais faites un effort par pitié ! Allez, je vous laisse avec une photo d’Adam, tirée de la vidéo, et une petite capture d’écran de la webcam avec la vue sur Joséphine, donc.

La bonne bise ! Et si vous n’avez plus de mes nouvelles, vous savez pourquoi… allez, la bonne bise !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *