Hop ! Vous n’avez rien vu, vous étiez simplement là en train de finir de manger, de regarder la télé, de toucher Zboubi le Zboub – oui, c’est certainement ça – quand, soudain, une chose extraordinaire s’est passée dans ce monde alors qu’il est minuit moins le quart (moi je comprends rien, à chaque fois que quelqu’un dit ça, je regarde ma montre et il n’est jamais minuit moins le quart… arrêtez de dire des choses avec votre bouche, on ne sait plus l’heure après puis il peut se passer des choses graves comme ne pas aller travailler pour redresser la Grande France forte, vous méritez la prison à vie plus quelques jours et, si ça ne tenait qu’à moi, on rétablirait La Peine de La Fin de la Vie avec une méthode douce comme l’écartèlement à coup de dentiers de mamies).
Heu, je disais quoi ? Ha oui : qu’il s’est produit quelque chose de merveilleux : une nouvelle page est apparue dans le menu : Le Bestiaire des Transports Publics. C’est une sorte de bonus du premier article Premium d’hier, et si vous vous souvenez plus, ou si vous n’avez pas encore eu la chance exceptionnelle de la parcourir, je vous mets un lien direct parce que je suis un homme bon, un homme gentil, et avec une grosse bite. Et, vous êtes obligés de le lire parce que j’y ai passé du temps, et que, attention au divulgâchement, ce sera bientôt pénalisé. C’est-à-dire que vous risquerez la Peine de la Fin de la Vie si vous ne lisez pas tous les articles de mon blog en temps et en heure. C’est bien normal, ça me parait de bon sens mais, bon, dans ce monde de drôle, il faut sanctionner quand le peuple n’a pas le comportement qu’il est censé avoir.
En tout cas, ce qui est génial d’avoir posté des bêtises pendant tant d’années, c’est qu’il me suffit parfois d’aller juste faire des copier-coller de touitts (oui, j’aurais toujours le Touitteur dans ma vie, et j’en rédigerai un article premium, oh oui, un jour, quand mon cœur se sera remis donc jamais) pour enrichir le blog. Parce qu’au final, je me dis que rien est éternel, mais au moins sur ce blog les gens ne tendront pas des bras raides, où alors pour saisir les poils de torse et les arracher (oui, on m’a arraché douze poils de torse à la dernière Jeudi Beuverie). Allez, comme le veut très prochainement le Code Pénatranal, il faut aller lire le Bestiaire (je vous remets le lien car je suis un homme bon, un homme gentil, et avec une grosse bite).
Oui, on termine l’article avec grosse bite.
Grosse bite grosse bite grosse bite !
Oui constatez que je fais toujours la gueule quand je suis dans les transports. Bon, là, je recycle les photos parce que j’ai les cheveux bien plus courts en ce moment. Vous savez vraiment tout de ma vie c’est merveilleux.